Retour en images à l’Eglise du Saint Sacrément, communauté catholique francophone (CCF) de Copenhague, où, le dimanche 4 mai, douze fidèles, dont Alexandre, Anicet, Anna, Corentin, Cyril, Emmeline, Imelda, Johan Ogisha, Marion, Philippe, Philippine, Romain, Thierry et Victor, ont été confirmés par Mgr Stanislas Lalanne, évêque émérite de Pontoise et évêque accompagnateur des CCFM (Communautés catholiques francophones dans le monde), service de la Conférence des évêques de France.
Nicolas, jeune professionnel de cette CCF, rappelle son émotion.
Nicolas, jeune professionnel de cette CCF, rappelle son émotion.
Cette cérémonie, particulièrement émouvante, a vu les nombreux jeunes confirmands recevoir les dons de l’Esprit Saint.
A cet endroit, l’homélie de Mgr Lalanne et la présence du père Jérôme, aumônier de l’Eglise du Saint Sacrément, a restitué la sacralité de ce rituel jusqu’à l’imposition des mains, venant symboliser la transmission de l’Esprit Saint.
A cet endroit, l’homélie de Mgr Lalanne et la présence du père Jérôme, aumônier de l’Eglise du Saint Sacrément, a restitué la sacralité de ce rituel jusqu’à l’imposition des mains, venant symboliser la transmission de l’Esprit Saint.
En amont de ce sacrement, le confirmand doit rédiger une lettre à l’évêque manifestant son amour pour Dieu, mais aussi les motifs profonds de sa demande de confirmation. Parmi les lettres reçues, nous pouvons citer ce court mais éloquent extrait, témoignant de la foi du confirmand :
« Dans la vie, je souhaite devenir footballeur et je souhaite réaliser cela en glorifiant Dieu dans mon ascension et surtout dans ma future carrière. Dans ma vie j’ai eu beaucoup de difficultés avec beaucoup de péchés et j’essaie de m’en débarrasser avec l’aide de
Dieu ».
Dieu ».
Mais d’abord, qu’est-ce que la Confirmation ?
« La confirmation, c’est la Pentecôte dans notre vie », s’exprima Jean-Paul II.
Aussi appelée « caractère », la confirmation se distingue comme un sacrement unique et destiné à ceux qui ont atteint l’âge de raison.
Durant cette cérémonie, l’évêque va oindre le front du confirmand avec le Saint Chrême, une huile parfumée, et imposer ses mains sur le fidèle. De cette émanation agréable procède la joie, celle de l’amour du Seigneur que le confirmé se doit de partager avec ses frères et sœurs. Nous pouvons concevoir cette huile, pénétrant le front, comme la puissance de l’Esprit Saint, devant être le moteur des actes du Confirmand. La confirmation a pour objet de guider le chrétien au plus près du Christ, une proximité plus forte avec l’Esprit Saint.
Durant cette cérémonie, l’évêque va oindre le front du confirmand avec le Saint Chrême, une huile parfumée, et imposer ses mains sur le fidèle. De cette émanation agréable procède la joie, celle de l’amour du Seigneur que le confirmé se doit de partager avec ses frères et sœurs. Nous pouvons concevoir cette huile, pénétrant le front, comme la puissance de l’Esprit Saint, devant être le moteur des actes du Confirmand. La confirmation a pour objet de guider le chrétien au plus près du Christ, une proximité plus forte avec l’Esprit Saint.
Ce sacrement appelle alors le confirmand à confesser sa foi, en d’autres termes à réitérer les promesses de son baptême. Car avec le baptême, le chrétien peut appeler le Seigneur « Père » ou « Abba ». La confirmation, elle, se manifeste comme le sacrement de la plénitude spirituelle et de l’évolution. En recevant les dons de l’Esprit Saint, le confirmand devient avancé dans la foi et est plus à même de témoigner la parole du Seigneur.
En outre, la confirmation est un Sacrement indispensable au Chrétien souhaitant devenir marraine ou parrain de baptême, se marier devant Dieu ou endosser une tâche dans l’Eglise.
Nicolas, jeune pro de Copenhague